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par VIDGITA

Ce livre repousse les frontières du possible, en nous confrontant à une autre réalité, souvent ignorée ou rejetée. Lacerta, être d’une sagesse millénaire, partage des connaissances et des perspectives qui défient les conceptions traditionnelles sur l’existence humaine, l’évolution, et notre place dans l'univers.

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Il existe des récits marginaux, dérangeants, que l’on ne sait pas vraiment où classer. Des témoignages qui, sans jamais prétendre à la vérité absolue, viennent pourtant ébranler nos repères les plus solides.
Le dossier Lacerta fait partie de ceux-là.

Dans ce second volume, nous découvrons la suite directe d’une interview menée en 2000 par un homme se présentant sous le nom d’Ole K., au cours de laquelle il aurait échangé avec une entité reptilienne humanoïde vivant depuis des millénaires dans les profondeurs de notre planète. Le récit est audacieux, parfois troublant, souvent fascinant.

Mais ce livre ne se limite pas à une simple retranscription.

Il propose une plongée en profondeur dans les implications vertigineuses de ce témoignage : manipulations génétiques à l’origine de l’humanité, falsification historique, présence d’élites non humaines, densités de réalité imbriquées, contrôle mental à grande échelle…


À travers 14 axes d’analyse documentés, l’auteur met en perspective les propos de Lacerta avec des sources historiques, biologiques, spirituelles et géopolitiques actuelles, sans jamais chercher à imposer une vérité.

Car ici, il ne s’agit pas de croire, mais de questionner.

Et si… certaines choses étaient vraies ?
Et si ce récit n’était pas une fiction, mais un miroir déformant de notre réalité ?


Le doute est permis. La curiosité est encouragée. La réflexion, elle, est inévitable.

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INTRODUCTION

 

Il y a des témoignages qui, une fois découverts, s’impriment durablement dans notre esprit, comme s’ils réveillaient quelque chose d’enfoui depuis toujours. Le premier volume du Dossier Lacerta en faisait partie. Publié sans prétention, avec le simple désir de partager un récit hors-norme, il a pourtant trouvé un écho inattendu auprès d’un large public. Certains lecteurs ont été bouleversés, d'autres intrigués, parfois même déroutés — mais rares sont ceux qui l’ont refermé sans que quelque chose, quelque part, ne se soit déplacé en eux.

 

Ce succès, je ne l’avais pas prévu. Mais au fond, je le comprends. Car le témoignage de Lacerta, cette mystérieuse entité reptilienne humanoïde vivant cachée sous nos pieds, ne ressemble à rien de ce que l’on lit habituellement dans les sphères de l’ufologie. Ce n’est pas un simple récit d’abduction, ni une rencontre du troisième type agrémentée de lumières dans le ciel. Non. C’est une vision du monde radicalement différente, un miroir dérangeant tendu à notre humanité, un coup de scalpel dans nos certitudes les plus confortables.

 

Et pourtant, tout cela ne faisait que commencer.

 

Car ce que peu de gens savent, c’est qu’une seconde interview a eu lieu. Un nouvel échange, plus dense, plus frontal, enregistré quelques mois plus tard, le 27 avril 2000. Cette suite directe du premier entretien n’a jamais été aussi largement diffusée. Peut-être parce qu’elle dérange encore plus. Peut-être aussi parce que son contenu, plus technique et plus profond, demande un peu plus d’effort de lecture et de réflexion.

C’est donc avec cette même volonté de clarté, de respect du texte d’origine, et d’ouverture d’esprit que je vous propose aujourd’hui ce second volume. Un nouveau chapitre du Dossier Lacerta. Une suite qui, sans renier la première rencontre, va plus loin. Et qui, je l’espère, saura à nouveau éveiller en vous cette petite étincelle — celle du doute, celle de la curiosité, ou peut-être… celle de la reconnaissance.

 

Car si ce témoignage vous semble étrangement familier, ce n’est peut-être pas un hasard.

 

Tout a commencé, officiellement du moins, par une interview insolite menée en décembre 1999. Dans un endroit discret, quelque part en Suède, un homme que l’on nommera "Ole K." affirme avoir rencontré une entité humanoïde... mais pas tout à fait humaine. Une femme reptilienne, nommée Lacerta, se disant originaire d’une ancienne espèce évoluée vivant dans les profondeurs de la Terre.

 

Déjà à ce stade, certains lecteurs avaient décroché. Une reptilienne ?

 

Sérieusement ? Et pourtant, dès les premières réponses de Lacerta, quelque chose détonne. Ce n’est pas un discours new age ni un délire mystique. Ce qu’elle dit est précis, construit, parfois vertigineux, mais toujours d’une étonnante cohérence.

 

Elle raconte une histoire cachée de notre planète, très différente de celle enseignée dans nos manuels. Selon elle, la Terre n’a jamais été exclusivement humaine. Avant nous, d’autres espèces intelligentes ont vécu ici. Parmi elles, la sienne, issue d’une longue évolution reptilienne indépendante, bien plus ancienne que l’apparition de l’homme.

 

Puis viennent les révélations. D’après Lacerta, l’humanité actuelle n’est pas le fruit d’une évolution naturelle, mais le résultat de manipulations génétiques opérées par des visiteurs extraterrestres. Des êtres venus d’ailleurs, souvent décrits dans nos mythes comme des dieux, auraient modifié des créatures primitives pour créer une espèce hybride, programmable et contrôlable : nous.

 

Elle évoque la programmation de nos croyances religieuses, la fausseté de notre histoire officielle, le rôle des élites humaines complices, et la nature artificielle de notre "âme", implantée comme un outil de surveillance intérieure.

 

Mais au-delà de ces affirmations provocantes, c’est la manière dont Lacerta les formule qui trouble. Elle ne cherche ni à convaincre ni à séduire. Elle parle comme quelqu’un qui observe l’humanité avec un mélange de compassion, de curiosité et d’inquiétude. Elle décrit notre comportement destructeur, nos émotions instables, notre besoin compulsif de croire plutôt que de savoir.

 

Elle parle aussi de son peuple : leur mode de vie souterrain, leur maîtrise des champs énergétiques, leur technologie basée sur la conscience, leur discrétion volontaire. Elle affirme qu’ils pourraient intervenir, mais qu’ils préfèrent observer, pour l’instant.

 

Ce premier entretien se termine sans sensationnalisme. Juste un constat : vous n’êtes pas seuls. Et si vous ressentez, au fond de vous, qu’il manque quelque chose à votre histoire, c’est peut-être parce que cette mémoire a été effacée.

 

Il y a des récits qu’on ne peut pas simplement classer, ranger, ou analyser froidement. Des récits qui flottent entre le mythe, la science, le témoignage, et quelque chose de plus difficile à nommer. Le dossier Lacerta fait partie de ceux-là.

 

Alors oui, disons-le franchement : à première vue, ce témoignage semble relever de la science-fiction. Une entité reptilienne vivant dans les profondeurs de la Terre, parlant d’histoire cachée, de manipulations génétiques, de races extraterrestres, de dimensions parallèles, d’âmes artificielles ? Ce n’est pas le genre de récit qu’on aborde dans les journaux ou sur les plateaux télé.

 

Et pourtant… il y a quelque chose. Quelque chose qui dépasse la forme du discours, quelque chose qui réside dans le fond, dans les silences entre les phrases, dans la cohérence globale, dans cette étrange impression que l’on ressent en lisant ses mots : et si... ?

 

Ce témoignage ne vient pas de nulle part. Il s’inscrit dans une longue tradition de récits parallèles, souvent marginalisés mais jamais totalement effacés. Depuis des millénaires, des voix parlent de peuples venus d’ailleurs, de dieux descendus du ciel, de créatures mi-divines mi-animales ayant enseigné, modifié, surveillé l’humanité. Les Sumériens, les Dogons, les Hopis, les anciens Égyptiens… toutes ces civilisations ont intégré dans leurs mythes des figures venues d’ailleurs, souvent reptiliennes, souvent associées à la connaissance, à la dualité, au pouvoir de transformation.

 

Ce que Lacerta propose, finalement, c’est une clé de lecture moderne de ces anciens récits. Elle ne dit pas : "croyez-moi". Elle dit : "regardez autrement". Et c’est peut-être là sa force. Elle ne cherche pas à imposer une vérité, mais à fissurer une illusion collective. À faire naître le doute dans une réalité trop bien construite pour être naturelle.

 

Alors bien sûr, on peut choisir de rejeter en bloc. Trop bizarre. Trop étrange. Trop inconfortable. Mais ce rejet, n’est-il pas lui-même programmé ? N’est-ce pas exactement ce que Lacerta décrit : une humanité incapable d’envisager autre chose que ce qu’on lui a enseigné ?

 

Et si l’histoire de l’humanité n’était pas celle que l’on croit ? Et si nous étions le fruit d’un vaste projet, d’un héritage oublié, d’un contrôle subtil ? Et si notre "âme" n’était pas ce que nous croyons, mais quelque chose de bien plus complexe, un programme, une antenne, un fragment énergétique détourné de sa source ?

 

Ces questions sont vertigineuses. Elles demandent du courage. Celui de penser autrement, de remettre en cause des fondations. Pas pour sombrer dans le délire, mais pour avancer, les yeux ouverts.

Le témoignage de Lacerta est peut-être vrai. Ou peut-être pas. Mais il contient, à tout le moins, une puissance symbolique, philosophique et existentielle indéniable. Il interroge nos origines, notre nature profonde, notre rapport au réel, à la mémoire, au sacré.

 

Il ne s’agit pas ici d’avoir foi. Il s’agit d’écouter. D’observer. De ressentir.

Et peut-être, au détour d’une phrase, d’apercevoir une part de vérité oubliée quelque chose qui, au fond de nous, sonne juste. Comme un souvenir flou qui remonte à la surface.

 

Ce second entretien avec Lacerta, mené quelques mois après le premier, pousse la réflexion encore plus loin. Si le premier échange avait déjà secoué bien des lecteurs par la radicalité de ses révélations, celui-ci va plus loin encore, plus profond, plus dérangeant, plus direct.

 

On y parle d’énergies vibratoires, de densités de réalité, de structure mentale de l’âme, de manipulations à l’échelle planétaire, de choix collectifs qui influencent notre futur, de conscience comme moteur de la réalité. Ce ne sont plus seulement nos origines biologiques ou historiques qui sont questionnées. C’est désormais notre perception même du réel qui est mise à l’épreuve.

 

Lacerta ne se contente plus d’expliquer d’où nous venons. Elle nous confronte à ce que nous sommes aujourd’hui, et à ce que nous pourrions devenir, ou ne jamais devenir. Elle évoque des lignes temporelles multiples, des choix invisibles qui se tissent dans l’ombre, des possibilités d’évolution ou de chute. Et surtout, elle insiste sur une idée essentielle : le libre arbitre existe, mais il ne peut s’exercer que si l’on ouvre les yeux.

 

Ce second témoignage n’est pas là pour rassurer. Il ne caresse pas le lecteur dans le sens du poil. Il dérange, il pique, parfois il heurte. Mais c’est aussi ce qui fait sa force. Il agit comme un détonateur silencieux, un miroir dans lequel chacun est libre de se reconnaître… ou de détourner les yeux.

 

Alors, ce que vous allez lire n’est pas une vérité absolue. Ce n’est peut-être même pas une vérité tout court. Mais c’est une invitation. Une invitation à repenser notre monde, à questionner nos fondations, à explorer les zones d’ombre de notre mémoire collective.

 

Et peut-être, au bout du chemin, à comprendre que la réalité n’est pas ce que l’on croit, mais ce que l’on ose percevoir.

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